• L’inacceptable... toujours et encore les erreurs d'identités...

     

    En 2014 !!!

     

    Enceinte de 4 mois, elle perd son bébé

     

    Zahara, enceinte de 4 mois, est hospitalisée à Saint-Vincent pour un cerclage. Mais une sage femme stagiaire lui administre par erreur un médicament qui ne lui est pas destiné.

     

    Enceinte de 4 mois, elle perd son bébé suite à une erreur d'identité...

     

    Ce qu'il reste désormais, c'est la douleur d'une mère et d'un père. Zahara, 28 ans, ne trouve pas les mots. Car comment expliquer ce qu'on ressent quand on vient de perdre son enfant.

     

    « Je suis effondrée, dégoûtée, dans un état de déprime totale. » Son mari Brahim trouve tout juste de quoi qualifier l'horreur : « On attendait notre bébé, on avait acheté ce qu'il faut, on avait préparé l'appartement. » Alors forcément, « c'est choquant, ça fait très mal au coeur ».

     

    Zahara est entrée à l'hôpital Saint-Vincent, pour un cerclage. L'intervention, qui vise à réduire le risque d'un accouchement très prématuré, était programmée le lendemain matin. Lundi, vers 8 h 30, elle fait donc une échographie :

     

    « L'enfant allait très bien, ils allaient pouvoir opérer. »

     

    Peu avant 9 h, une jeune stagiaire entre dans sa chambre pour lui administrer des comprimés.

     

    « Elle m'a dit que c'était pour dilater le col de l'utérus, puis elle est repartie. Moi j'ai pensé que ça servait à faciliter l'intervention. » L'étudiante sort de la chambre et Zahara prend les cachets. Les effets se font rapidement ressentir : « J'ai eu des contractions, j'avais mal, alors j'ai sonné. Une infirmière est venue et m'a dit que c'était normal. »

     

    - Puis tout s'enchaîne, l'erreur fatale...

     

    La Wervicquoise est emmenée au bloc opératoire pour le cerclage. Pendant l'intervention, les médecins constatent la présence anormale des comprimés dans le corps de la jeune femme. « Quand je me suis réveillée, ils m'ont expliqué qu'ils avaient dû expulser le foetus. Je n'ai pas compris, j'ai répondu que ce n'était pas vrai, que le bébé allait très bien. Ensuite je me suis rendormie sous l'effet de l'anesthésie : ils allaient me faire un curetage. » Brahim, lui, est au travail quand il reçoit un appel en urgence de l'hôpital : « Une fois sur place, j'ai vu ma femme qui n'allait pas bien du tout, je n'ai pas compris ce qui se passait. » Pour le couple, bouleversé, les explications des médecins ne sont pas claires : « Ils ont parlé de ma grossesse à risques, du médicament, on ne comprenait pas bien. Alors mercredi, on a appelé notre médecin généraliste. Et l'hôpital lui a expliqué qu'il y avait eu une erreur dans le médicament qu'on m'avait donné. »

     

    - Une enquête est ouverte

     

    L'explication, la direction de l'hôpital Saint-Vincent de Paul :

     

    Zahara devait « bénéficier d'un cerclage du col de l'utérus au 4e mois ». Seulement, « le professionnel de santé qui avait en charge l'unité de soins a délégué à une étudiante sage-femme l'administration d'un médicament destiné à une autre patiente, hospitalisée dans une chambre voisine pour un curetage ».

     

    La stagiaire a respecté la prescription, la posologie, le numéro de chambre...

     

    - Mais voilà, elle a oublié une chose :

     

    « vérifier auprès de la patiente son identité ! ». 

     

    Source : 

     

     

     Mr Pascal Weber

     

     


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  • Pascal Weber


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  • Pour information...

     

    Mr Pascal Weber


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    Acte 2

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    Je témoigne…

    Chaque chose étant à sa place et chacun ayant obtenu sa place, l’heure est venue pour moi, de parler ouvertement à présent.

    Ainsi, je vous invite à me suivre dans cette voie par la mise en place de cette première page, comparable à un journal. Que j’ai intitulé «  Le journal d’un lanceur d’alerte »

    Et auprès duquel, je vous invite de m’accompagner quotidiennement en tant que spectateur, et qui sait ? Peut-être agirez-vous, de vous-même par la suite, lorsque vous aussi aurez vu et compris par vous-même quelle est l’utilité, l’urgence, le non choix même, de dénoncer les erreurs d’homonymies administratives.

    Car tel est mon premier objectif, du fait des drames de vie que ces erreurs génèrent à l’encontre de centaines de victimes à travers toute l’Europe. Et ceci à tous les niveaux administratifs et pas un seul secteur administratif en échappe… ce qui implique, que des personnes meurent à la suite d’une erreur d’homonymie sur leurs personnes.

    Et aucun pays de cette sphère et encore moins de la Communauté Européenne ne peut se prévaloir d’être à l’heure actuelle capable, de gérer les erreurs d’homonymies administratives à l’encontre de personnes comme vous et moi.

    Me concernant, à l’heure actuelle que vous lisez ces lignes, je suis personnellement confronté à 25 erreurs d’homonymies et qui elles, n’ont rien, mais absolument rien à voir avec une quelconque usurpation d’identité à l’encontre de ma personne. Mais dont la cause même, de toutes ces erreurs sur ma personne de la part d’un grand nombre des Administrations Françaises, émane d’une carence des administrations à différencier deux personnes portant le même Nom comme le même Prénom.

    Fléau dont sont infectées toutes les institutions, administrations, comme infrastructures administratives de cette sphère et ceci à tous les niveaux. Ainsi, il n’y a pas un seul pays sur terre, qui ne commet pas d’erreurs d’homonymies administratives.

    Avant de poursuivre dans cette voie, je me retrouve malgré moi aujourd’hui, impliqué dans trois facettes différentes. Dont l’une est d’être une victime des administrations à l’encontre de ma personne, l’autre, à vouloir dénoncer ma situation comme celle de toutes les autres victimes confrontées à des erreurs d’homonymies administratives ; et la troisième et pas des moindres, je suis un lanceur d’alerte en Europe. Et autant vous le dire, mon vécu à ce jour en tant que tel, est rocambolesque, au point que les derniers juristes (de carrière) que j’ai consultés, m’on dit : « heureusement que vous pouvez prouver vos dires, car malgré notre expérience de longue date, on ne vous croirait pas…

     

    Je conclurais ce premier écrit, par une prise de position.

    Nous sommes le 16 août 2014, et comme par le passé déjà, et ceci à trois reprises, et en trois dates différentes. Je me positionne à nouveau, après m’être déjà positionné à nouveau une première fois en date du 18 décembre 2013 auprès de l’Ambassadeur des Etats-Unis, Monsieur Charles H. Rivkin.

    - Si rien n’est entrepris à l’encontre des erreurs d’homonymies administratives, il va de nouveau se produire une erreur, et qui elle, se produira cette-fois ci en Europe et sur le territoire Français.

     

    Mr Pascal Weber.

     

    Mr Pascal Weber

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    Jean-Claude Juncker

    erreur homonymie


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    Prison

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    erreur homonymie

     

    - Le Luxembourg, libère un prisonnier par erreur...

     

    - Episode 1 :

    Un incident quelque peu embarrassant s'est déroulé dans mon pays d’origine en septembre 2013, où on croit bien à tort, être à l’abri de commettre des erreurs d’homonymies administratives...

     

    Lire la suite...   Prison : Le Luxembourg, libère un prisonnier par erreur... 

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